Concordia Siège National
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R. J’avais déjà ce rêve de faire quelque chose à l’étranger, de voyager, et ainsi de suite. En 2018, j’ai eu l’occasion de participer au programme du Service Civique, où j’ai été volontaire pour une association en Alsace pendant huit mois. Cette expérience m’a beaucoup plu et c’est pour cela que j’ai voulu faire quelque chose de similaire, mais à l’étranger. C’était ma première fois que je vivais pendant une longue période en dehors de la France..
R. Comme j’avais déjà terminé le programme du Service Civique, je ne pouvais pas y participer à nouveau. Cela m’a conduit à explorer d’autres opportunités de volontariat. Après de nombreuses recherches, j’ai découvert Concordia. Je l’ai donc contactée, et j’ai commencé le processus pour obtenir un placement à l’étranger.
R. En réalité, la Hongrie n’était pas mon choix initial. C’est elle qui m’a choisi. J’ai posé ma candidature partout sans préférence particulière. Cependant, lors d’une réunion avec l’un des organisateurs d’un programme de volontariat en Hongrie, tout s’est mis en place sans problème.
R. Je voulais faire quelque chose d’artistique, et ce volontariat m’a donné l’occasion d’explorer différentes activités créatives. Étant passionnée de théâtre, j’ai proposé de devenir enseignante d’art dramatique, et ils ont organisé un cours hebdomadaire. De plus, j’ai apporté mon aide aux écoles en aidant les enfants à apprendre l’anglais.
R. Bien sûr ! Notre organisation d’accueil organisait des cours de hongrois hebdomadaires. Je voulais aussi faire un effort et essayer d’apprendre la langue. Alors, j’ai commencé à utiliser Duolingo, mais c’est une langue difficile à apprendre.
R.Évidemment, il y a toujours des problèmes, mais je pense que cela dépend davantage de la mentalitéavec laquelle on les aborde. Par exemple, je n’ai pas créé d’attentes pour moi-même, et je n’avais pas la certitude que les choses se dérouleraient comme je le pensais. J’ai été très flexible.
Avec mon organisation d’accueil, la communication était parfois un peu difficile. Quelquefois, j’ai eu des problèmes avec l’argent qu’ils devaient me donner chaque mois, et ils étaient lents à me le donner. J’en ai parlé à mon coordinateur à Concordia et, après cela, je n’ai plus eu de problèmes. Cela m’a montré que je n’étais pas seule dans mon bénévolat: il y a toujours quelqu’un à contacter à « la maison ».
R. La liberté que j’ai eu, sans aucun doute. J’avais ma propre chambre, qui était très grande, et je partageais l’appartement avec une seule autre personne: je me sentais très à l’aise. De plus, mon organisation avait confiance dans les volontaires, et je pouvais donc proposer beaucoup de choses que je voulais faire, et ils m’aidaient.
R.C’est une question profonde, à laquelle les gens répondent souvent de manière très dramatique. Je ne pense pas avoir beaucoup changé. J’ai acquis plus d’expérience, et j’ai amélioré les compétences que j’avais déjà, comme ma capacité à m’adapter à de nouveaux environnements.
R. OPPORTUNITÉ ; LIBERTÉ ; ART.
R. Oui, je participerais à nouveau au même projet. Si je pouvais revenir en arrière, je choisirais la même chose. Pour moi, c’était incroyable, surtout parce que je ne me suis pas seulement consacrée à ce projet, mais j’ai aussi développé d’autres projets personnels, comme le mannequinat, des projets musicaux…. Nous avons fait des concerts, et même des comédies musicales !
Je renouvellerais cette expérience en Hongrie. J’y ai rencontré beaucoup de gens et j’y ai maintenant beaucoup d’amis. Par exemple, il y a deux semaines, je suis allée là-bas pour rendre visite à mes amis. Je veux dire que lorsque je fais quelque chose, j’aime le faire à 100 %. Il est très important de ne pas partir uniquement en tant que touriste ou bénévole, mais d’essayer de faire partie de la communauté.
R. J’ai étudié la psychologie, mais l’art me manque. Alors, maintenant, je fais quelque chose de différent. En novembre, j’ai commencé une école de gestion de projets. Mon rêve est de devenir directrice artistique. Mais pour le moment, je ne cherche qu’un emploi : le programme de l’école est une formation en alternance. Cela signifie que l’on suit des cours pendant une semaine, puis que l’on travaille pendant 3 semaines dans une entreprise. Il me reste donc à trouver une entreprise.
R. Non, j’aimerais partir à l’étranger, mais pour le moment, je dois rester en France parce que je viens de commencer cette école, donc je ne peux pas déménager pour l’instant. En effet, j’espère vraiment trouver une entreprise qui me permettra de travailler ici la première année, et qui m’enverra à l’étranger les années suivantes.
J’espère avoir l’occasion de voyager à nouveau. À cet égard, je sais qu’il existe plusieurs programmes pour partir à l’étranger, mais le problème est que les gens ne les connaissent pas. Ces projets devraient faire l’objet d’une plus grande publicité, et être mieux diffusés parmi les jeunes. Il faut plus d’informations !
R.Soyez ouvert ! Et pas seulement en ce qui concerne votre état d’esprit. Soyez ouvert pour proposer des idées. Ne restez pas assis sur votre chaise à attendre que les autres vous disent quoi faire. Soyez proactifs !
Qu’est-ce que le Corps Européen de Solidarité ? Plus d’informations ici
Publié le vendredi 05 janvier 2024 à 16:21:54
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