Concordia Siège National
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Aujourd’hui, nous allons vous présenter Emmanuel Maillard, membre du conseil d’administration de Concordia. Il est administrateur depuis 5 ans et a bien voulu témoigner sur ce rôle.
Nous vous invitons à découvrir ses réponses à notre petit interview ci-dessous.
Comment avez-vous connu Concordia ?
J’ai connu Concordia lors de ma rencontre avec le délégué régional Rhône-Alpes qui tenait un stand présentant l’association dans un forum de l’Economie Sociale et Solidaire en mai 2010, à Lyon.
Comment voyez-vous votre rôle d’administrateur ?
Mon premier objectif, lorsque j’ai présenté ma candidature au CA lors de l’AG de novembre 2010, était, en participant à la gestion d’une structure associative, professionnel : utiliser mes compétences et en développer de nouvelles…Cette première intention s’est assez rapidement transformé en un engagement personnel et idéologique…cet investissement important me permettant de promouvoir les valeurs du projet, de tenter de les intégrer et les appliquer dans ma vie de tous les jours.
Depuis combien de temps y êtes-vous engagé ?
5 années de mandat
Que faites vous dans la vie ?
Initialement formé aux métiers de l’ingénierie de l’environnement, je suis spécialisé en chimie environnementale et écotoxicologie. Concrètement, mon dernier emploi consistait principalement à calculer les impacts environnementaux potentiels des substances et formulations chimiques.
Au niveau personnel, mon principal centre d’intérêt actuel est celui des échanges interculturels, du développement de ma conscience internationale et de rencontres de personnes de différents horizons et pays.
Avez-vous un souhait particulier pour l’association ?
Pas de souhait particulier si ce n’est celui de voir son projet perdurer et idéalement son nombre d’adhérents augmenter nettement.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre rôle d’administrateur ? Et qu’est-ce qui vous paraît difficile ?
J’aime particulièrement m’impliquer sur certains sujets précis qui peuvent être utiles pour l’association. Par exemple, piloter des groupes de travail permettant de proposer des réflexions stratégiques pour la structure. La difficulté principale que je peux souligner est lié au niveau d’investissement que cela représente : le projet me passionne, je ne compte pas mes heures d’engagement bénévole mais parfois, je finis les réunions sur les rotules.
Racontez nous votre plus belle anecdote Concordia?
Une belle anecdote est l’animation d’un chantier international à Laurenan, dans les Côtes d’Armor, en 2014 : 4 ans après avoir animé mon premier chantier, je me suis retrouvé au cœur du projet initial de la structure : participer à l’animation d’un territoire rural pendant la période estivale avec un groupe de bénévoles internationaux. Revenir à ce travail concret de mise en oeuvre du projet après 4 ans passé au CA m’a fait beaucoup de bien !
Publié le lundi 01 juin 2015 à 14:29:00
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